mercredi 8 avril 2009

Les figures de la littérature: Roland Barthes


L'ennui de Barthes, ses velléités d'écriture romanesque (La vita nova), son désir refoulé pour la poésie et la narration. La période dure des années soixante, celle de la sémiologie, de la sémiotique et de la révolution culturelle. Son voyage en Chine et son aveuglement devant le maoïsme. Paris, la fête et l'ennui, encore. Des livres cryptés, notamment l'empire des signes. La fin de sa vie, ce trop plein de langage. Ce besoin de rupture et de neutralité. La mort dans un quasi-anonymat.


Voilà les thèmes majeurs, abordés à l'Escale du livre lors de la table ronde du dimanche 5 avril en compagnie de trois auteurs qui ont tous eu le privilège de rencontrer Barthes : Jean Esponde (Roland Barthes, un été (Urt 1978), paru chez Confluences), Phillipe Mezescaze (De l'eau glacée contre les miroirs aux éditions Le Rocher) et enfin Raphaël Sorin (21 irréductibles paru aux éditions Finitude).

Loick V.

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